La coopérative scolaire permet de financer des projets éducatifs ou des actions de solidarité (sorties scolaires, achat de matériel pédagogique) quand le budget prévu par la commune se révèle insuffisant. La contribution des parents, sans montant minimum, n’est pas obligatoire.
La coopérative scolaire ne prend pas en charge les frais liés aux activités obligatoires. Par exemple, elle peut financer le car transportant des élèves en classe de découverte, mais pas celui qui les transporte à la piscine.
La création d’une coopérative n’est pas obligatoire, mais la quasi-totalité des écoles en sont pourvues.
Un organisme central, l’OCCE (Office central de la coopération à l’école) auquel les 55 000 coopératives scolaires de France sont affiliées d’office, exerce un contrôle sur cet argent et veille à sa bonne utilisation.
L’argent qui dote la coopérative scolaire de chaque école provient des familles qui sont sollicitées une ou plusieurs fois dans l’année.
L’EBB (École Buissonnière Baurechaise) reverse chaque année tout ses bénéfices à la coopérative de l’école.